Sig lance une solution sans aluminium à effet barrière pour les emballages cartons aseptiques

Les marques de distributeurs composent au moins la moitié des courses de 60% des Français

Avec Lay’s, Pepsico lance son premier sachet d’origine végétale en France

Avec ses nouvelles pompes à chaleur, Trane propose une technologie de chauffage haute efficacité pour les procédés industriels

Réemploi : des expérimentations creusent le sillon d’un changement d’échelle

Hyperconnexion, surconnexion -Impact de l’utilisation des technologies d’information et communication (TIC)

Sentiment d’urgence, surcharge d’information, débordement du travail dans la sphère personnelle… De nombreux salariés peuvent être exposés à des difficultés liées à l’usage des outils numériques tels que la messagerie électronique. A l’occasion de la parution d’un article dans la revue Hygiène & sécurité du travail, trois questions à Vincent Grosjean, responsable d’études et co-auteur de cette réflexion.

Lire la suite ici.

La formation au risque d’incendie : quelles obligations pour l’employeur ?

L’information et la formation des salariés font partie intégrante de la démarche de prévention du risque d’incendie sur le lieu de travail. Elles relèvent de la responsabilité de l’employeur. Le point dans ce focus juridique.

Lire la suite ici.

RÉGLEMENTATION. Les locaux à pollution spécifique soumis à de nouvelles limites en poussières

Depuis le 1er janvier 2022 et jusqu’au 30 juin 2023, les concentrations moyennes en poussières totales et alvéolaires de l’atmosphère inhalée par un travailleur dans les locaux à pollution spécifique, et évaluées sur une période de huit heures, ne doivent pas dépasser respectivement  7 et 3,5 mg/m3  d’air (contre 10 et 5 jusqu’au 31 décembre 2021). Elles doivent passer à respectivement 0,9 mg/m3 au 1er juillet 2023. Une commission est chargée de recenser les moyens à mettre en place par les employeurs pour assurer le respect de ces valeurs et évaluer si celles dont la mise en place est prévue au 1er juillet 2023 doivent être ajustées. Ces nouvelles valeurs ne s’appliquent pas aux mines et carrières, qui restent soumises aux valeurs actuellement en vigueur. De même pour les opérations de construction ou d’aménagement de bâtiments pour lesquelles la demande de permis de construire est antérieure au 1er janvier 2022, ni aux opérations n’exigeant pas un permis de construire dont le début des travaux est antérieur à cette même date.

Lire l’article ici.

RISQUE CHIMIQUE. Des VLEP évoluent

L’arrêté du 9 décembre 2021 fixant de nouvelles valeurs limites d’exposition professionnelle indicatives pour certains agents chimiques est entré en vigueur le 30 décembre 2012 concomitamment au décret n° 20121-1849. Ces nouvelles valeurs prévues par les directives européennes 2019/983 et 2019/1831 portent sur la protection des travailleurs contre les risques liés à l’exposition à des agents cancérogènes ou mutagènes au travail. Cela concerne une série de substances chimiques, notamment l’aniline ou le chlorométhane. Parallèlement, le décret du 28 décembre 2021 introduit dans le Code du travail des VLEP contraignantes pour sept nouvelles substances chimiques, parmi lesquelles le béryllium ou la triméthylamine. La plupart de ces VLEP seront applicables au 1er mars 2022.

Voir l’article ici.