Idée reçue : avec l’âge, c’est normal d’avoir des TMS (troubles musculosquelettiques) !

Une nouvelle vidéo de sensibilisation sur les TMS visant à combattre l’idée reçue : «  Avec l’âge, c’est normal d’avoir des TMS ! » est disponible. Elle a été élaboré dans le cadre du PRST3.

Encore aujourd’hui, beaucoup d’idées reçues circulent sur les TMS, et leur prévention, ce qui peut parfois expliquer l’échec ou en tout cas la limite de certaines démarches mises en place dans les entreprises.

Après le premier clip visant à combattre l’idée reçue relative à la prévention des TMS « Pour prévenir les TMS, il suffit de montrer les bons gestes et les bonnes postures » sorti en février 2019 (plus de 6300 vues), un second volet est proposé : « Avec l’âge, c’est normal d’avoir des TMS ! ».

Les objectifs 

  • Montrer qu’il est possible de prévenir les TMS tout au long des carrières professionnelles, en mettant en place diverses actions de prévention, et ainsi permettre de partir en retraite avec une santé préservée. En effet, vieillir au travail ne signifie pas forcément avoir des TMS.
  •  Mettre en évidence des actions de prévention pertinentes :
    • accompagner les salariés : lors de leur embauche avec un accueil adapté, déployer le tutorat, leur proposer une offre de formation au poste tout au long de leur parcours professionnel, et anticiper une évolution professionnelle si possible,
    • réduire les contraintes physiques,
    • optimiser l’organisation du travail et l’espace de travail,
    • développer et favoriser le collectif de travail,
    • laisser des marges de manœuvre.
  • Rappeler l’importance d’une démarche globale de prévention des TMS, en impliquant les salariés.

Publics ciblés :

  • chefs d’entreprise et personnes ressources chargées d’initier, piloter ou animer une démarche de prévention des TMS,
  • représentants du personnel dans le cadre de leurs missions,
  • salariés dans le cadre de leur participation à la prévention des TMS,
  • tous les secteurs d’activité peuvent être concernés, et toute taille d’entreprise.

Signature d’un accord Chine UE sur les indications géographiques

L’Union européenne et la Chine ont signé le 14 septembre 2020 un accord bilatéral visant à protéger 100 indications géographiques (IG) européennes en Chine et 100 IG chinoises dans l’Union contre les usurpations et les imitations.

Cette signature fait suite à l’impulsion donnée à cette négociation par la visite du Président de la République en Chine en novembre 2019, dans le cadre de la Foire internationale de Shanghai, à l’occasion de laquelle la conclusion politique des négociations avait été annoncé

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Agroalimentaire : la BPI lance un programme de soutien à l’investissement

La BPI France (Banque publique d’investissement) lance un appel à projets à destination des acteurs industriels de secteurs dits « critiques » – dont l’agroalimentaire – frappés par la crise sanitaire liée au COVID-19. Les entreprises intéressées peuvent candidater jusqu’au 17 novembre 2020. Ce programme s’inscrit dans le cadre du plan de relance du Gouvernement.

Quels projets sont concernés ?
Pour le secteur agroalimentaire, cet appel vise entre autres les projets qui ciblent la diversification des approvisionnements, la création, le maintien ou le redéploiement des capacités de production, permettant d’assurer la souveraineté alimentaire et l’autonomie de la France et de l’Union européenne.

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Usine du Futur : Que sera l’usine agroalimentaire de demain ?

Parce que le monde change, l’industrie agroalimentaire va devoir évoluer avec lui. Confrontée aux exigences des clients, aux nouveaux besoins des consommateurs, aux marchés de plus en plus volatils et imprévisibles, aux réglementations et normes de plus en plus strictes, aux défis à venir qu’ils soient sociétaux et environnementaux ainsi qu’à une concurrence accrue, l’industrie agroalimentaire doit sans cesse s’adapter de manière réactive tout en développant sa croissance via une chaîne de production sans faille. Pour rester engagé dans la compétition, il lui faut jongler entre productivité, compétitivité, profitabilité, capacités d’investissement et innovation. […]

Le Grand Est, un des leaders européens de l’«Industrie du futur»

Chef de file du développement économique, la Région Grand Est consacre cette année un budget de 84 millions d’euros à l’économie et à ses acteurs sur le territoire. Sa stratégie vise essentiellement l’accompagnement des entreprises dans leur projet de développement, d’investissement, d’innovation et d’internationalisation, afin de les aider à affronter les grandes transformations de notre société : digitalisation, transition écologique et énergétique, innovation technologique et sociale, économie collaborative, développement de nouveaux modèles économiques plus inclusifs, etc.

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Lancement d’une bière Collab’ nationale avec les adhérents du SNBi

Communiqué de presse, le 27 août 2020

Toujours dans l’objectif de soutenir ses adhérents et les aider à développer leurs ventes, le SNBi a eu l’idée de lancer une Collab’ avec ses adhérents … une bière collaborative, bière de récolte au houblon frais, appelée la Nation’Ale.

Qu’est-ce qu’une collab’. … c’est tout simplement plusieurs brasseries qui décident de créer ensemble une bière originale, souvent brassée une seule et unique fois.

Ce sont plus de 140 brasseries qui ont souhaité faire partie de cette aventure unique, avec aussi quelques brasseries non-adhérentes.

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Pacte vert pour l’Europe: la Commission élabore de nouvelles initiatives pour stimuler le secteur de l’agriculture biologique

La Commission européenne lance aujourd’hui une consultation publique sur son futur plan d’action pour l’agriculture biologique. Ce secteur jouera un rôle important dans la réalisation de l’ambition du pacte vert pour l’Europe et des objectifs fixés dans la stratégie «De la ferme à la table» et dans la stratégie en faveur de la biodiversité. La Commission estime qu’il est primordial de veiller à ce que le secteur de l’agriculture biologique soit doté des instruments adéquats et d’un cadre juridique efficace et consensuel, ce qui est fondamental pour atteindre l’objectif de 25 % de terres agricoles consacrées à l’agriculture biologique. Si le nouveau règlement relatif à la production biologique fournit une base solide, le droit dérivé qui doit encore être adopté doit être tout aussi résilient. À la demande des États membres, du Parlement européen, des pays tiers et d’autres parties prenantes, la Commission propose donc également aujourd’hui de reporter d’un an, du 1er janvier 2021 au 1er janvier 2022, l’entrée en vigueur de la nouvelle législation relative à l’agriculture biologique.

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L’Anses, 10 ans d’action sur la qualité de l’air

L’Anses a récemment publié son rapport d’activité 2019 : « L’Anses en action ». A l’occasion du dixième anniversaire de l’Agence qui avait lieu le 1er juillet 2020, ce rapport d’activité était l’opportunité de revenir sur les sujets ayant marqué ses premières années d’existence. Tout au long de l’année 2020, les lecteurs pourront ainsi (re)découvrir certains de ses sujets emblématiques.

A l’occasion de la journée nationale de la qualité de l’air, l’Agence revient sur les travaux de recherche menés depuis plus de dix ans autour de la qualité de l’air. Ces travaux permettent de mieux identifier les polluants préoccupants, et ainsi contribuer à l’amélioration des connaissances scientifiques.

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La loi n° 2020-699 du 10 juin 2020 est relative à la transparence de l’information sur les produits agricoles et alimentaires.

La nouvelle loi reprend en fait des mesures relatives à l’information des consommateurs qui avaient été établies initialement dans la loi n° 2018-938 du 30 octobre 2018 pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, durable et accessible à tous, dite loi Egalim. Les mesures d’information ainsi prises avaient été censurées par le Conseil constitutionnel car elles n’avaient pas de lien direct avec l’objet de la loi et constituaient donc des « cavaliers législatifs ».

La nouvelle loi du 10 juin 2020 comprend 12 articles…

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La moitié des Français ne seraient pas prêts à réduire leur consommation

Avec la pandémie, nombreux seraient les Européens à avoir pris conscience de la nécessité de consommer de manière plus durable pour préserver les ressources de la planète. Toutefois, selon une étude récente menée pour Tomra par Kantar, les consommateurs n’ont jusqu’alors que peu appliqué cette idée dans leur vie quotidienne. En France, seulement 37% des personnes interrogées ont déclaré qu’elles consommaient moins de biens et services avec la crise du coronavirus ou qu’elles prévoyaient de le faire à l’avenir. En revanche, la moitié (50%) d’entre elles n’a pas modifié son comportement de consommation et n’envisage pas de le faire à l’avenir.

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