Lactips inaugure sa première unité de production et entre dans une nouvelle ère industrielle

L’entreprise française spécialisée dans la production de polymère 100% biosourcé, hydrosoluble dans l’eau et biodégradable dans les différents milieux, vient d’inaugurer sa première unité industrielle de 4 200 m² à Saint-Paul-en-Jarez (42). Lactips redonne ainsi vie à un ancien site industriel fermé depuis 2018.

Pour plus d’informations, cliquez ici

Réglement relatif à la production et à l’étiquetage de produits biologiques (rectificatif)

Rectificatif au règlement (UE) 2018/848 du Parlement européen et du Conseil du 30 mai 2018 relatif à la production biologique et à l’étiquetage des produits biologiques, et abrogeant le règlement (CE) no 834/2007 du Conseil («Journal officiel de l’Union européenne» L 150 du 14 juin 2018) (16).

Source de l’article.

Fertilisation : composition des dossiers de demandes d’autorisation de mise sur le marché

Arrêté du 6 septembre 2022 modifiant l’arrêté du 1er avril 2020 fixant la composition des dossiers de demandes relatives à des autorisations de mise sur le marché et permis de matières fertilisantes, d’adjuvants pour matières fertilisantes et de supports de culture et les critères à prendre en compte dans la préparation des éléments requis pour l’évaluation.

Source de l’article.

Code rural et de la pêche : Liste des produits phytopharmaceutiques de biocontrôle

Note de service DGAL/SDSPV/2022-678 – Liste des produits phytopharmaceutiques de biocontrôle, au titre des articles L.253-5 et L.253-7 du code rural et de la pêche maritime.

Source de l’article.

Transfert d’animaux vivants : organismes de formation habilités pour les conducteurs

Arrêté du 24 juin 2022 portant publication de la liste des organismes de formation habilités à mettre en œuvre les formations requises pour les personnes exerçant une fonction de conducteur ou de convoyeur d’animaux vivants.

Source de l’article.

HACCP : mise en oeuvre harmonisée au niveau de l’UE des plans de maîtrise sanitaire

Communication 2022/C 355/01 de la Commission relative à la mise en œuvre d’un plan de maîtrise sanitaire du secteur alimentaire applicable aux bonnes pratiques d’hygiène et aux procédures fondées sur les principes HACCP, y compris la flexibilité accordée à certaines entreprises.

Source de l’article.

LA PRODUCTION DES ENTREPRISES ALIMENTAIRES FRAGILISÉE PAR LES RESTRICTIONS D’EAU !

L’ANIA et La Coopération Agricole demandent aux pouvoirs publics l’autorisation de l’expérimentation de la REUSE pour renforcer les actions d’économie d’eau.

L’ANIA et La Coopération Agricole alertent sur l’extrême difficulté dans laquelle se trouvent les entreprises agroalimentaires, avec le passage en situation de crise sécheresse dans de nombreux départements, alors même que des réductions d’eau sont déjà en cours dans les entreprises. La pérennité de plusieurs filières alimentaires est menacée.

Les arrêtés sécheresse niveau crise demandent aux industriels de réduire parfois jusqu’à 60% leurs prélèvements, selon les régions. Dans un secteur industriel qui utilise des volumes d’eau importants pour les activités de nettoyage, dans les process, et en tant qu’ingrédient, ces niveaux de réduction des prélèvements est extrêmement compliqué à atteindre au regard notamment de la maîtrise des risques sanitaires attendue.

Les entreprises du secteur ont, par ailleurs, mis en place des plans d’actions d’économies d’eau avec responsabilité et engagement depuis plusieurs années et les ont accentués depuis le début de l’été, notamment en réorganisant leurs productions au maximum.

Pour en savoir plus.

CONSTRUIRE LES TRANSITIONS ALIMENTAIRES AVEC FRANCE 2030 : LANCEMENT DU GRAND DÉFI « FERMENTS DU FUTUR »

Ce lundi 12 septembre, Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, et Bruno Bonnell, secrétaire général pour l’investissement, ont lancé le Grand Défi « Ferments du Futur » aux côtés des pilotes de ce projet : INRAE et l’ANIA.

Financé par l’Etat à hauteur de 48,3 millions d’euros dans le cadre de France 2030, le Grand Défi « Ferments du Futur » doit permettre de mobiliser les techniques naturelles de fermentation pour accélérer la révolution agricole et alimentaire au service d’une alimentation, saine, durable et traçable.

Les aliments fermentés (comme le pain, le fromage, les yaourts, la choucroute, le vin, la bière…) présentent de nombreux bénéfices grâce aux microorganismes (bactéries ou levures) présents naturellement dans ces aliments qui se nourrissent de leurs sucres et de leur eau et rejettent de l’acide, du gaz ou de l’alcool selon l’aliment et le ferment. Concrètement, l’acidification de l’aliment inhibe la croissance de microorganismes indésirables, permet ainsi une meilleure conservation et peut présenter de nombreux bénéfices associés, comme l’apport en vitamines et antioxydants, la formation de nouveaux arômes ou encore des effets bénéfiques sur le microbiote intestinal et la santé (via les probiotiques et ferments lactiques).

Pour en savoir plus.

Cancers des ovaires et du larynx en lien avec l’exposition à l’amiante : vers une meilleure reconnaissance

le risque de survenue des cancers du larynx et des ovaires et l’exposition professionnelle à l’amiante. L’ensemble des éléments scientifiques de cette expertise apportent des éléments en faveur de la création de tableaux de maladie professionnelle dans les régimes agricole et général. Ceux-ci faciliteraient la reconnaissance et la prise en charge de ces deux maladies. Cette reconnaissance apparaît d’autant plus importante que les patients, comme les médecins, ne font souvent pas le lien entre la survenue de ces cancers et l’exposition à l’amiante.

Les cancers broncho-pulmonaires et de la plèvre (mésothéliome) sont actuellement les seuls cancers faisant l’objet d’un tableau de maladies professionnelles en lien avec l’exposition à l’amiante. Ils ne sont cependant pas les seuls cancers pouvant être provoqués par ces fibres : depuis 2012, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) considère que le lien causal entre les cancers des ovaires et du larynx et l’exposition à l’amiante est avéré.

L’Anses a été saisie pour apporter aux pouvoirs publics les éléments scientifiques permettant d’envisager la création de tableaux de maladies professionnelles pour ces deux cancers.

Pour en savoir plus.

Santé : la biosurveillance des principaux produits chimiques se met en place en Europe

Les enquêtes récentes le montrent : 90 % des Européens s’inquiètent de l’impact des produits chimiques sur l’environnement, et 84 % sur leur santé. Les préoccupations relatives à ce sujet occupent également une place de plus en plus importante dans le discours public…

Pour autant, la production mondiale de produits chimiques devrait doubler d’ici à 2030, ce qui reflète l’augmentation rapide de leur utilisation dans presque tous les secteurs économiques.

De fait, des substances chimiques peuvent être utilisées dans la fabrication de médicaments vétérinaires, produits phytopharmaceutiques, biocides, conservateurs, additifs… Elles font alors l’objet d’une évaluation des risques potentiels pour le consommateur avant mise sur le marché.

D’autres, présentes cette fois dans l’environnement, peuvent également avoir un impact : elles peuvent être d’origine naturelle (micro-organismes, champignons produisant des toxines, métaux présents dans les sols, etc.) ou résulter d’une pollution (polychlorobiphényles ou PCB, chlordécone, métaux…).

On parle de « produit chimique » quand plusieurs substances sont mélangées en vue de donner des propriétés particulières au produit résultant : produit cosmétique, peinture, nettoyant ménager, etc.

Pour en savoir plus.