L’IFS Food V7 maintenant publié

« Je suis fier de cette nouvelle version du référentiel IFS Food. Nous l’avons allégée, rendue plus efficace et plus simple à utiliser. Je remercie nos parties prenantes, les groupes de travail nationaux, le comité technique international et le Board de l’IFS pour leurs précieuses contributions », déclare Stephan Tromp, directeur général de l’IFS.

La nouvelle version de ce référentiel donne plus de clarté sur ce que nous attendons des auditeurs lorsqu’ils effectuent une évaluation IFS. Les exigences ont désormais un caractère plus normatif, et la nouvelle structure facilite le travail avec le référentiel. Nous avons mis davantage l’accent sur l’évaluation sur site et moins sur la documentation. La checklist de l’évaluation a été alignée sur les exigences de la GFSI « Benchmarking Requirements » version 2020.1, le FSMA et les réglementations de l’UE.

Les évaluations IFS Food V7 peuvent être effectuées à partir du 1er mars 2021. La mise en place deviendra obligatoire pour toutes les entreprises certifiées à partir du 1er juillet 2021.

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Réforme de la politique agricole de l’UE: déclarations des négociateurs en chef du Parlement

Suite au vote sur la réforme de la politique agricole de l’UE, le président de la commission de l’agriculture et les trois députés en charge du dossier ont fait les déclarations suivantes.

Déclaration de Norbert Lins (PPE, DE), président de la commission de l’agriculture

« Une large majorité du Parlement a adopté cette semaine les points clés de la position parlementaire sur la future politique agricole commune. Je tiens à remercier tous les rapporteurs et leurs équipes pour leur travail et leur dévouement. Étant donné que les ministres de l’agriculture sont aussi parvenus à un accord mardi soir, après deux ans et demi, les négociations entre le Conseil et le Parlement pourront débuter sous peu. Il était temps. L’agriculture européenne a besoin de clarté pour les prochaines années. »

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L’Anses et ses partenaires lancent aujourd’hui le site dédié à la plateforme de surveillance de la chaîne alimentaire

Et de trois ! Après la plateforme d’épidémiosurveillance en santé animale et celle en santé végétale, c’est au tour de la plateforme de surveillance de la chaîne alimentaire (SCA) de lancer son site internet dédié : https://www.plateforme-sca.fr. Les professionnels de l’élevage et de l’agroalimentaire, les professionnels de santé ou les membres d’organismes et d’instituts techniques pourront notamment y trouver des supports méthodologiques, les résultats des travaux publiés par la plateforme SCA ainsi que l’ensemble des bulletins de veille sanitaire.

 

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Teneurs maximales de contaminants, valeurs toxicologiques de référence, doses critiques… Ceux de nos lecteurs qui sont plus familiers des dangers biologiques ont parfois été déroutés par ces termes que l’on retrouve dans les brèves consacrées aux contaminations chimiques. Ce point a pour objectif de vous donner quelques repères.

Les termes qui suivent portent sur deux notions distinctes : l’exposition et le niveau de contamination. Pour rappel, le niveau de contamination correspond à la concentration d’une substance dans une matrice. L’exposition est la quantité de cette substance absorbée par un individu pendant un intervalle de temps donné, l’exposition est donc le produit du niveau de contamination par la consommation.

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L’Agence nationale du médicament vétérinaire impliquée dans un projet pour lutter contre la pénurie d’antibiotiques

L’Anses, au travers de l’Agence nationale du médicament vétérinaire, va participer au pilotage d’un projet visant à trouver des solutions à l’indisponibilité de certains antibiotiques. D’une durée de trois ans, ce projet débutera en novembre 2020. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) apportera son soutien technique.

Les antibiotiques sont particulièrement touchés par les questions de pénurie ou de manque de disponibilité, que ce soit en médecine humaine ou vétérinaire. Ce phénomène est dû à de multiples facteurs : problèmes d’approvisionnement en matière première, d’arrêt ou de difficulté de production, de maintien des autorisations de mise sur le marché des médicaments dont le brevet est tombé dans le domaine public…
L’indisponibilité de certains antibiotiques a de graves conséquences : quand un antibiotique de première intention n’est plus disponible, les professionnels de la santé humaine et animale doivent se tourner vers d’autres antibiotiques, qui peuvent présenter un risque plus élevé de provoquer de l’antibiorésistance ou qui sont considérés comme critiques pour la santé humaine, et donc à utiliser avec prudence.

Le problème est particulièrement présent en santé animale, où le développement de nouvelles molécules antibiotiques est difficile, car celles-ci sont généralement réservées à la médecine humaine. Il est donc indispensable de pouvoir maintenir l’arsenal thérapeutique existant.

 

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Glyphosate : l’Anses publie les résultats de son évaluation comparative avec les alternatives non chimiques disponibles

Dans le cadre du plan de sortie du glyphosate engagé par le gouvernement, l’Anses a lancé une évaluation des alternatives non chimiques à cet herbicide dont les résultats ont été rendus publics le 9 octobre 2020. L’usage de la substance est dorénavant restreint aux situations où le glyphosate n’est pas substituable à court terme. Ces restrictions sont désormais prises en compte par l’Agence pour délivrer les autorisations de mise sur le marché des produits à base de glyphosate.

L’Anses a lancé en novembre 2018 une évaluation des alternatives non chimiques au glyphosate. L’objectif était de déterminer les usages pour lesquels cette substance peut être substituée par des alternatives non chimiques et d’identifier les situations d’impasse où aucune alternative appropriée n’est actuellement disponible. L’évaluation s’appuie sur l’article 50.2 du règlement européen CE 1107/2009 relatif à la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques, qui précise qu’il est possible de procéder à une évaluation comparative d’un produit phytopharmaceutique « s’il existe une méthode non chimique de prévention ou de lutte pour la même utilisation et si elle est d’usage courant dans cet État membre[1]»

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L’Anses, 10 ans d’action sur l’amélioration de la qualité nutritionnelle et sanitaire de l’alimentation

L’Anses a récemment publié son rapport d’activité 2019 : « L’Anses en action ». A l’occasion de son dixième anniversaire qui avait lieu le 1er juillet 2020, ce rapport d’activité était l’opportunité de revenir sur les travaux ayant marqué ses premières années d’existence. Tout au long de l’année 2020, les lecteurs peuvent ainsi (re)découvrir certains de ses sujets emblématiques.

A l’occasion de la journée mondiale de l’alimentation 2020, notre tour d’horizon se poursuit avec l’alimentation. Déterminant majeur de notre santé, l’alimentation doit couvrir nos besoins quotidiens en énergie et en nutriments, dans une recherche permanente d’équilibre et de sécurité sanitaire des apports. L’Anses étudie en continu l’évolution des comportements alimentaires de la population française et celle de l’offre des produits afin de proposer des repères alimentaires adaptés à chacun et d’évaluer les risques en tenant compte des expositions réelles des consommateurs. Retour sur les travaux menés par l’Agence.

 

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Cueillette des champignons : attention aux intoxications !

Depuis le début de la saison des champignons, les centres antipoison ont enregistré une très nette augmentation des cas d’intoxications associés à la consommation de champignons sauvages, notamment ces deux dernières semaines. Les conséquences sur la santé peuvent être graves et conduire à une hospitalisation voire au décès. Les systèmes de santé étant déjà sous tension en pleine période de pandémie Covid-19, l’Anses vous invite à nouveau à redoubler de vigilance pendant la cueillette et à respecter les bonnes pratiques pour consommer les champignons en toute sécurité.

 

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COVID-19 : des indicateurs à l’échelle infra-départementale sur Géodes

A partir du 21 octobre, Santé publique France met à la disposition de tous, sur son observatoire cartographique Géodes, de nouveaux indicateurs à des échelons infra-départementaux. En complément des indicateurs nationaux, régionaux et départementaux déjà disponibles, Santé publique France décline le taux d’incidence (tous âge), le taux de dépistage et le taux de positivité à des échelons territoriaux très fins : IRIS, commune et établissement public de coopération intercommunale (EPCI). Cette nouvelle déclinaison des indicateurs permet de situer chaque territoire par rapport aux autres ainsi qu’à l’échelon national. L’objectif est d’apporter une aide à la décision à tous les niveaux du territoire.

 

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Les Crudettes relocalise ses salades avec une serre high-tech

La filiale du groupe LSDH a ouvert la semaine dernière les portes de sa serre expérimentale Cap Vert, qui produit des salades et des herbes aromatiques en aéroponie mobile, sans pesticides. Un investissement de 4 millions d’euros qui esquisse l’avenir d’une production high-tech. Visite en photos.

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