Sept points clés pour améliorer la sécurité alimentaire mondiale et la nutrition

Évolution de la qualité nutritionnelle des régimes alimentaires entre 1990 et 2018

Un enrobage comestible prolongeant la durée de conservation des fruits et légumes

Archroma lance les solutions barrières pour les emballages alimentaires à base d’ingrédients naturels renouvelables

Essais : 100% de polystyrène recyclé mécaniquement pour les applications en contact avec les aliments

Analyse des accidents du travail

Lorsqu’un accident du travail (AT) survient, il est nécessaire d’en identifier les causes et de mettre en place des actions correctives pour éviter qu’il ne se reproduise. L’analyse des accidents du travail est formalisée selon une méthodologie définie au préalable et comporte 7 grandes étapes.

L’analyse des accidents du travail est une étape cruciale de la démarche de prévention, bien qu’elle ait lieu a posteriori. Analyser un accident du travail c’est identifier les causes de sa survenue et agir en conséquence pour éviter son renouvellement par la mise en œuvre d’actions correctives adaptées. Cela permet également d’améliorer le fonctionnement de l’entreprise grâce à une meilleure compréhension des dysfonctionnements et du travail réel.

Analyser les accidents fait partie des missions du comité social et économique (CSE). Les modalités de réalisation de ces analyses doivent être déterminées en amont, par exemple dans le règlement intérieur du CSE (voir Brochure ED 6340).

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Pourquoi l’étiquetage de denrées alimentaires est-il obligatoire ?

Garantir la sécurité et l’information du consommateur sur le produit qu’il s’apprête à acheter, tel est le rôle principal d’une étiquette produit.

Pour les denrées alimentaires présentées à la vente, qu’elles soient préemballées ou non, l’étiquetage alimentaire est un outil efficace permettant de communiquer de manière directe des informations au consommateur telles que l’identité et le contenu du produit, la façon de le manipuler, de le préparer ou encore de le consommer et de fait de protéger la santé du consommateur.

Pour des raisons de sécurité sanitaire des aliments et de nutrition, avec l’augmentation du commerce international et de la fraude, cet étiquetage est de plus en plus encadré dans le secteur agroalimentaire par des règles très strictes dont l’objectif final est de proposer la création d’étiquettes alimentaires claires et fiables pour le consommateur, comme le stipule le règlement (UE) n°1169/2011 sur les règles d’étiquetage de denrées alimentaires.

A noter qu’à compter de la fin 2023, les vins devront, comme les autres produits alimentaires, indiquer leur composition et leur déclaration nutritionnelle. Concrètement cela pourrait se traduire de manière dématérialisée pour la liste des ingrédients. Concernant la déclaration nutritionnelle, celle-ci serait limitée à la valeur énergétique sur l’étiquetage, à condition d’être accessible en totalité de manière dématérialisée. Pour l’étiquetage, la filière semblerait s’orienter vers l’usage de QR codes imprimés sur les bouteilles.

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L’aggravation de l’insécurité alimentaire dans le monde

Publié en septembre 2022 par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM), un rapport alerte sur la possible augmentation de l’insécurité alimentaire aiguë, d’ici la fin de l’année, et identifie 19 foyers de famine potentiels. Ils sont situés sur les continents américain, asiatique et surtout africain, en particulier dans les pays de la Corne de l’Afrique (figure ci-dessous).

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Encéphalite à tiques : remonter à l’origine des cas de transmission via le fromage

Des cas de contaminations humaines par le virus de l’encéphalite à tiques via l’alimentation ont été observés pour la première fois en France en 2020. Plusieurs laboratoires de l’Anses se sont mobilisés afin d’en comprendre les circonstances, d’améliorer la détection du virus dans les produits au lait cru et de prévenir ainsi les risques de contamination similaires. Les premiers résultats de leurs travaux sont parus récemment.

Au printemps 2020, 43 personnes habitant l’Ain ont souffert de méningites, de méningo-encéphalites ou de symptômes grippaux causés par une contamination par le virus de l’encéphalite à tiques (TBEV). Elles avaient toutes consommé du fromage de chèvre au lait cru.

Il s’agissait de la première infection par voie alimentaire connue en France, le TBEV se transmettant généralement par piqûres de tiques. « En avril 2020, le premier confinement a favorisé la consommation de produits locaux, rappelle Gaëlle Gonzalez, chargée de projet à l’unité de virologie du laboratoire de santé animale de l’Anses. Le fait que les cas soient groupés a facilité l’identification de l’origine de la contamination. ».

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