Le verre cloué sur le totem de la consigne

 Le verre cloué sur le totem de la consigne

Reprenant à la lettre une mesure de la Convention citoyenne pour le climat, le gouvernement s’engage à « généraliser » la consigne des emballages en verre en 2025. Un pari risqué ?

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Sodebo et Brioches Fonteneau cherchent des solutions disruptives

Les deux entreprises vendéennes s’associent à l’accélérateur de start-up Miam pour trouver les emballages de demain ou des alternatives au plastique. –

L’emballage est la priorité de Miam, l’accélérateur de start-up dédié à la « foodtech » piloté par Startup Palace. Qui, pour cette première saison, reçoit le soutien de deux industriels vendéens, Sodebo et Brioches Fonteneau. L’objectif est de répondre de manière collaborative aux grands défis de l’industrie agroalimentaire à travers le développement de « solutions disruptives », selon Samuel Guyomard, le responsable de la recherche et du développement de Sodebo, pour mieux manger dans le plus grand respect de l’environnement. Ouvert jusqu’au 3 janvier 2021, l’appel à candidatures s’adresse aux start-up européennes « plutôt matures », « qui ont déjà une solution testée, une équipe ainsi qu’un début de traction ». Les deux jeunes entreprises innovantes sélectionnées par Sodebo et Brioches Fonteneau, en février 2021, seront soumises à un programme intensif aux côtés des deux industriels durant neuf mois, « avec un suivi très serré, des points hebdomadaires, des ateliers collectifs, de l’accompagnement individuel ou encore des points de passage trimestriels ». Les résultats de ces travaux devraient arriver dans les rayons en 2022 ou 2023.

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Accélérer les innovations en 2021 : 5 tendances à suivre pour l’agroalimentaire selon Innova

Microalgues : Inalve inaugure sa ferme pilote pour l’alimentation animale

La start-up française a lancé sa nouvelle usine dans la vallée du Var (06). Elle produit des ingrédients à base de microalgues pour l’alimentation animale à partir d’un process breveté.

De nombreuses initiatives cherchent à proposer des ingrédients plus durables dans le domaine de l’alimentation animale et de l’aquaculture. Outre la filière « insectes » qui se structure fortement, les fournisseurs de microalgues sont aussi très dynamiques. Créée en 2016 et incubée trois ans au ToasterLab de Vitagora, la start-up française Inalve veut se positionner comme une réponse aux grands enjeux économiques et environnementaux. Elle produit des microalgues Tetraselmis suecica sur biofilm grâce à un process de convoyeur mobile développé avec le CNRS, Sorbonne Université, Centrale Supelec et Inria. Elle vient de lancer avec quelques mois de retard sa première ferme pilote de 300 m2 dans l’Eco Vallée de la plaine du Var. Le but est de lancer la commercialisation industrielle (plusieurs milliers de tonnes par an) pour 2024, et de déployer des fermes à l’international en 2025.

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Réforme de la politique agricole de l’UE: déclarations des négociateurs en chef du Parlement

Suite au vote sur la réforme de la politique agricole de l’UE, le président de la commission de l’agriculture et les trois députés en charge du dossier ont fait les déclarations suivantes.

Déclaration de Norbert Lins (PPE, DE), président de la commission de l’agriculture

« Une large majorité du Parlement a adopté cette semaine les points clés de la position parlementaire sur la future politique agricole commune. Je tiens à remercier tous les rapporteurs et leurs équipes pour leur travail et leur dévouement. Étant donné que les ministres de l’agriculture sont aussi parvenus à un accord mardi soir, après deux ans et demi, les négociations entre le Conseil et le Parlement pourront débuter sous peu. Il était temps. L’agriculture européenne a besoin de clarté pour les prochaines années. »

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L’Agence nationale du médicament vétérinaire impliquée dans un projet pour lutter contre la pénurie d’antibiotiques

L’Anses, au travers de l’Agence nationale du médicament vétérinaire, va participer au pilotage d’un projet visant à trouver des solutions à l’indisponibilité de certains antibiotiques. D’une durée de trois ans, ce projet débutera en novembre 2020. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) apportera son soutien technique.

Les antibiotiques sont particulièrement touchés par les questions de pénurie ou de manque de disponibilité, que ce soit en médecine humaine ou vétérinaire. Ce phénomène est dû à de multiples facteurs : problèmes d’approvisionnement en matière première, d’arrêt ou de difficulté de production, de maintien des autorisations de mise sur le marché des médicaments dont le brevet est tombé dans le domaine public…
L’indisponibilité de certains antibiotiques a de graves conséquences : quand un antibiotique de première intention n’est plus disponible, les professionnels de la santé humaine et animale doivent se tourner vers d’autres antibiotiques, qui peuvent présenter un risque plus élevé de provoquer de l’antibiorésistance ou qui sont considérés comme critiques pour la santé humaine, et donc à utiliser avec prudence.

Le problème est particulièrement présent en santé animale, où le développement de nouvelles molécules antibiotiques est difficile, car celles-ci sont généralement réservées à la médecine humaine. Il est donc indispensable de pouvoir maintenir l’arsenal thérapeutique existant.

 

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