« Avis du groupe de travail du Conseil National de la Consommation (CNC) sur l’étiquetage de l’origine des denrées alimentaires et de leurs ingrédients, adopté le 21 septembre 2021 »
« 50% des viandes consommées dans les cantines scolaires sont aujourd’hui importées. Le Gouvernement a fait de l’approvisionnement en produits frais et locaux en restauration collective, une priorité. Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, a annoncé, à l’occasion du salon Restau’Co (Paris), de nouvelles mesures pour renforcer la qualité de l’alimentation en restauration collective. »
L’Ademe a accordé 282 millions d’euros d’aides dans le cadre du Plan de relance. La décarbonation de l’industrie se taille la part du lion. L’agence espère que certains dispositifs seront reconduits avec le futur plan « France 2030 ».
La société spécialisée dans la production de biomolécules végétales Plant Advanced Technologies (PAT) a été récompensée lors des Trophées de la santé. Cet événement, organisé par le groupe média Ebra et la coopérative Welcoop, coopérative de pharmaciens, a mis en avant les acteurs de la santé de la région Grand Est.
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« Chaque kilo de plastique nous coûte aujourd’hui dix fois plus cher à gérer qu’à fabriquer », dénonce l’ONG, critiquant le « le coût caché du plastique ». L’essentiel de cette charge est lié à la dégradation des services écosystémiques des océans liés au déversement de déchets plastique dans les eaux.
Dans son rapport intitulé « Plastiques : le coût pour la société, l’environnement et l’économie », le WWF passe en revue l’ensemble du cycle de vie des plastiques. Trois coûts sont pris en compte.
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L’économie circulaire, de plus en plus encouragée, contribue à la croissance économique et à la compétitivité des entreprises, en développant de nouveaux produits, dont certains à forte valeur ajoutée. Cependant, l’introduction sur le marché de nouveaux produits issus des coproduits de la biomasse est souvent complexe, notamment à cause des différentes législations en vigueur, aux niveaux régionaux et européens.
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Le partenariat public-privé BBI JU finance le projet Perfecoat dans le cadre du programme de recherche et d’innovation Horizon 2020 de l’Union européenne. Ce projet, mis en œuvre par un consortium multidisciplinaire d’experts de quatre universités et instituts de recherche et huit partenaires commerciaux, vise à développer et valider des revêtements pour le bois et décoratifs contenant plus de 25 % de composants biosourcés.
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Le géant allemand de la chimie BASF a présenté le 24 août 2021 son nouvel ingrédient cosmétique pour le contour des yeux, Seanactiv. Il est composé de fucoïdane, un polysaccharide sulfaté à longue chaîne que le chimiste extrait de l’algue brune Fucus vesiculosus (fucus vésiculeux). Pour extraire cet ingrédient qui améliore le contour des yeux, la division Care Chemicals de BASF exploite des algues récoltées manuellement sous licence gouvernementale.
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L’année 2021 marque les 25 ans de l’I.G.P. (Indication Géographique Protégée) de la Bergamote de Nancy. Les quatre fabricants et membres de l’O.D.G. (Organisme de Défense et de Gestion) de la Bergamote de Nancy I.G.P. invitent les gourmands, curieux et gastronomes à fêter cet anniversaire cet automne à Nancy.
Programme des festivités :
Les fabricants de Bergamote de Nancy :
L’ODG de la Bergamote de Nancy compte 4 membres, qui travaillent dans une synergie collective dans une démarche de protection de produit.
25 ans d’Indication Géographique Protégée (IGP)
Le 21 juin 1996 marque l’obtention du label de protection européenne : l’Indication Géographique Protégée Bergamote de Nancy. C’est pour éviter de trouver un jour des « bergamotes vertes à pois rouges » que quatre confiseurs se sont engagés dans une démarche qualitative et exigeante qui a permis d’obtenir le label I.G.P. Protégée en 1996, la Bergamote de Nancy I.G.P., est le seul bonbon en France ayant reçu ce label. Ce dernier impose le respect d’un cahier des charges rigoureux incluant divers éléments de fabrication (essence de bergamote d’origine naturelle, taille du bonbon, transparence, couleur…) et de commercialisation (emballages individuels). Ainsi, une Bergamote de Nancy I.G.P. est obligatoirement composée d’essence de bergamote d’origine naturelle et est emballée individuellement.
Histoire de la Bergamote de Nancy
L’IGP Bergamote de Nancy fête en 2021 ses 25 ans, mais l’histoire de la Bergamote de Nancy s’étend sur plusieurs siècles.
L’histoire de cette confiserie est intimement liée à celle du bergamotier.
Le bergamotier est apparu en Italie entre le XIV et le XVème siècle. Cet agrume de la famille des rutacées affectionne particulièrement les régions chaudes : la majorité des plantations de bergamotiers est située en Calabre, dans le sud de l’Italie et c’est cette région qui produit la meilleure essence de bergamote, celle qui donne son goût incomparable à la Bergamote de Nancy.
C’est en perçant la peau de la bergamote, fruit du bergamotier, que l’on extrait un jus verdâtre, l’essence de bergamote. Cette essence n’a eu longtemps aucune utilité jusqu’au jour où un colporteur Italien rejoint son neveu à Cologne et dans cette ville, mettent au point la formulation de l’ Eau de Cologne dont l’essence de Bergamote représente un tiers de sa formulation. L’ensemble des cours européennes sera parfumé par ce principe olfactif.
La Lorraine, ne va pas échapper à cette révolution. Le chef de cuisine du roi Stanislas nommé Joseph Gilliers écrira en 1751, un ouvrage remarquable de gastronomie intitulé « Le Cannaméliste Français », dans lequel on y trouve une recette de pastille parfumée à l’essence de bergamote.
En 1850, un confiseur allemand, Jean-Frédéric Godfroy Lillig énoncera définitivement la recette de la Bergamote de Nancy à savoir, un sucre cuit parfumé à l’essence de Bergamote.
La 2ème révolution importante pour la Bergamote de Nancy surviendra lors de l’exposition universelle de Nancy en 1909, lorsque Albert Lalonde aura avoir l’idée de réaliser des boîtes de Bergamotes de Nancy en métal sur lesquelles il va faire figurer les éléments architecturaux de la Place Stanislas en association avec l’appellation « Bergamote de Nancy »
Chaque année, des milliers de produits fabriqués de manière illégale sont saisis par les douanes. Selon certaines estimations, le commerce international de produits contrefaits et piratés pourrait atteindre près de 1 000 milliards de dollars d’ici la fin de la décennie. La qualité des produits contrefaits les rend d’autant plus difficiles à détecter qu’auparavant. Désormais, la contrefaçon concerne également les produits de grande consommation tels que l’alcool par exemple.
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