DSM lance un granulé biosourcé pour l’impression 3D

« Le chimiste néerlandais Royal DSM a lancé un matériau haute performance pour la fabrication de granulés pour l’impression 3D, l’EcoPaXX AM4001 GF. Il s’agit d’une version optimisée de l’EcoPaXX, un polyamide 4,10 contenant 70 % de matière biosourcée dérivée de l’huile de ricin lancé en 2009. »

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Miscanthus et sorgho verdissent le béton et le plastique

« Ces plantes sont de véritables couteaux suisses ! Et en plus, elles sont pleines de promesses pour lutter contre le réchauffement climatique. Le miscanthus ou herbe à éléphant et le sorgho ont été, pendant huit ans, au centre des investigations du programme de recherche Biomass for the future (BFF) qui a livré ses résultats, jeudi 12 novembre.

De la production d’énergie renouvelable à la fabrication de béton végétal en passant par la mise en forme de matériaux composites pour l’industrie automobile,  elles offrent un panel de possibilités très grand en cours d’exploration et qui vont exploser dans les cinq prochaines années , s’enthousiasme Hermann Hofte, coordinateur du projet et directeur de recherche à l’Inrae (Institut national de recherche pour l’agriculture). »

 

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Mission Emballages : un grand recensement collaboratif des emballages de tous les produits alimentaires

« Le projet Open Food Facts référence les informations (ingrédients, nutrition, labels etc.) de 1,5 million de produits du monde entier (dont plus de 700 000 pour la France). Il a rendu possible la création de plus de 100 applications et services utilisés au quotidien par des millions de personnes pour choisir des aliments plus sains. Notre base de données est également un outil précieux pour les équipes de recherche qui étudient l’impact de l’alimentation sur notre santé. »

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La France maintient ses aides aux hydrocarbures fossiles jusqu’en 2035

« 14 novembre 2020, dans le cadre du Projet de loi de finances 2021, le gouvernement français et sa majorité ont voté dans la nuit le maintien des aides financières de l’Etat pour les nouveaux projets d’exploitation pétrolière jusqu’en 2025, et gazière jusqu’en 2035. Les Amis de la Terre et Oxfam France dénoncent vivement ce faux plan de sortie des subventions aux énergies fossiles, totalement incompatible avec l’urgence climatique. »

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L’étiquetage de l’origine de l’ingrédient primaire en 60 questions

Le guide publié par l’Ania et la FCD éclaircit certains aspects du règlement d’exécution UE 2018/775 sur les règles d’indication du pays d’origine ou du lieu de provenance de l’ingrédient primaire d’une denrée alimentaire. Un véritable outil d’aide à la décision pour un sujet complexe.

L’indication de l’origine d’un ingrédient primaire pose encore question. C’est le cas en particulier lorsque le pays d’origine ou le lieu de provenance de la denrée alimentaire diffère de celui de l’ingrédient primaire, comme le précise l’article 26.3 du règlement Inco et dont les règles sont fixées par le règlement d’exécution UE 2018/775. L’Association nationale des industries alimentaires (Ania) et la Fédération du commerce et de la distribution (FCD) viennent de publier un guide en vue d’aider les opérateurs à se mettre conformité avec cette règlementation.

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Tryptophane et probiotiques, nouvelles pistes contre l’intolérance au gluten

Un consortium de chercheurs issus notamment d’Inrae, de l’Inserm, d’AP-HP et de Sorbonne Université sont en voie de découvrir une solution contre l’intolérance au gluten. Leur étude démontre l’intérêt de consommer du tryptophane ou certains probiotiques pour lutter contre la dysbiose qui affecte les cœliaques.

Avec une prévalence estimée à 1 % de la population européenne, la maladie cœliaque fait l’objet de nombreuses recherches car il n’existe pas de traitement curatif à part une éviction du gluten dans l’alimentation. Le 21 octobre, des chercheurs de l’Université McMaster (Canada), d’INRAE, de Sorbonne Université, de l’Inserm, de l’AP-HP (CHU d’Ile de France) et de l’université de Wageningen (Pays-Bas) ont publié un article dansScience translational medicinequi montre un lien entre microbiote intestinal et intolérance au gluten. Ils ont étudié les selles de 29 patients cœliaques, une partie étant traitée par un régime sans gluten, et les ont comparées à celles de volontaires sains.

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Pesticides dans le sésame : un risque à intégrer d’urgence

Une vague inédite de rappels a été provoquée par la présence à des teneurs supérieures à la réglementation d’oxyde d’éthylène dans des graines de sésame. Ce qui implique de revoir les plans de contrôle. Le point à date.

Depuis le mois de septembre, plus de 150 produits alimentaires contenant des graines de sésame en provenance d’Inde ont été rappelés dans l’Hexagone. En cause, la mise en évidence de la présence d’oxyde d’éthylène à des teneurs mille fois supérieures à la réglementation européenne (CE 396/2005). Ce pesticide, utilisé pour éviter le développement de moisissures lors du stockage, est classé cancérogène, mutagène et toxique pour la reproduction. « Depuis le signalement de cette non-conformité par les autorités belges, il y a aujourd’hui entre cinq et dix alertes par jour sur le réseau RASFF (Rapid Alert System for food and feed) », observe Jérôme Ginet, responsable de l’unité contaminants d’Eurofins. Cette vague de rappels concerne un large panel de produits, allant du mélange de graines, aux biscuits (Nutrition & Santé, Bonne Maman, St Michel, etc.), en passant par les produits de boulangerie-pâtisserie (Bridor, Picard, Neuhauser, etc.) et du petit-déjeuner (barres céréalières et granola) jusqu’aux gâteaux apéritifs.

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« Certains matériaux cochent toutes les cases : biosourcés, recyclables et compostables en milieu naturel »

Dans un contexte de course à la recyclabilité, Christophe Morin, gérant du cabinet de conseil Packagile, explore pour Process Alimentaire les principales pistes d’innovation en matière d’éco-conception. Et souligne l’émergence de matériaux qui cochent toutes les cases : à la fois biosourcés, recyclables et compostables.

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Bonduelle abandonne le film pour un suremballage carton

Le groupe alimentaire entame sa mue « circulaire » pour éliminer les plastiques non recyclables avec l’aide de Paker et de Van Genechten Packaging. –

Après s’être engagé pour « créer un futur meilleur par l’alimentation végétale » en agissant sur plusieurs leviers dont l’emballage, Bonduelle passe aux démonstrations pratiques. La suppression du film plastique sur ses lots x2 et x3 de légumes en boîte métal au format 1/4, remplacé par un pack carton, constitue le premier changement de taille dans cette évolution vers des emballages plus en phase avec l’environnement. « Nous travaillons sur de multiples aspects, comme la réduction du poids et des volumes des conditionnements. Nous nous sommes aussi engagés à éliminer d’ici à 2025 les 10% d’emballages qui ne sont pas réutilisables ou recyclables », souligne Damien Cadeau, directeur des achats emballage et matières premières du groupe nordiste. Les plastiques font naturellement les frais de cette évolution. Dans le cas présent, quelque 60 millions de packs par an sont concernés, qui permettront la suppression de 170 tonnes de polyéthylène (PE). Pour réussir cette conversion, Bonduelle s’est appuyé sur l’expertise de Paker et de Van Genechten Packaging. Le premier a mis au point la suremballeuse qui permet d’appliquer la découpe sur les lots de boîtes à une vitesse de 200 coups par minute. Le second lui fournit les découpes, en carton recyclé de 350 g/m², qui servent à emballer les lots.

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