Alternative à la viande : Des transformateurs en continu pour texturer les produits à base de plantes

Covid-19 : comment gérer un éventuel cluster dans votre entreprise ?

Présanse, la fédération des services de santé au travail, propose des outils pratiques pour la prise en charge des personnes symptomatiques et l’identification des cas contact.

Le Protocole national de déconfinement précise (page 11) qu’il revient à « l’entreprise en lien avec le Service de Santé au Travail, de rédiger préventivement une procédure adaptée de prise en charge sans délai des personnes symptomatiques » et dans l’hypothèse d’un cas avéré, l’entreprise « doit pouvoir faciliter l’identification des contacts » par la réalisation d’une matrice d’exposition.

Comment réagir si un salarié présente des symptômes faisant suspecter une contamination ?
Présanse recommande de suivre un protocole bien précis :

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Idée reçue : avec l’âge, c’est normal d’avoir des TMS (troubles musculosquelettiques) !

Une nouvelle vidéo de sensibilisation sur les TMS visant à combattre l’idée reçue : «  Avec l’âge, c’est normal d’avoir des TMS ! » est disponible. Elle a été élaboré dans le cadre du PRST3.

Encore aujourd’hui, beaucoup d’idées reçues circulent sur les TMS, et leur prévention, ce qui peut parfois expliquer l’échec ou en tout cas la limite de certaines démarches mises en place dans les entreprises.

Après le premier clip visant à combattre l’idée reçue relative à la prévention des TMS « Pour prévenir les TMS, il suffit de montrer les bons gestes et les bonnes postures » sorti en février 2019 (plus de 6300 vues), un second volet est proposé : « Avec l’âge, c’est normal d’avoir des TMS ! ».

Les objectifs 

  • Montrer qu’il est possible de prévenir les TMS tout au long des carrières professionnelles, en mettant en place diverses actions de prévention, et ainsi permettre de partir en retraite avec une santé préservée. En effet, vieillir au travail ne signifie pas forcément avoir des TMS.
  •  Mettre en évidence des actions de prévention pertinentes :
    • accompagner les salariés : lors de leur embauche avec un accueil adapté, déployer le tutorat, leur proposer une offre de formation au poste tout au long de leur parcours professionnel, et anticiper une évolution professionnelle si possible,
    • réduire les contraintes physiques,
    • optimiser l’organisation du travail et l’espace de travail,
    • développer et favoriser le collectif de travail,
    • laisser des marges de manœuvre.
  • Rappeler l’importance d’une démarche globale de prévention des TMS, en impliquant les salariés.

Publics ciblés :

  • chefs d’entreprise et personnes ressources chargées d’initier, piloter ou animer une démarche de prévention des TMS,
  • représentants du personnel dans le cadre de leurs missions,
  • salariés dans le cadre de leur participation à la prévention des TMS,
  • tous les secteurs d’activité peuvent être concernés, et toute taille d’entreprise.

Signature d’un accord Chine UE sur les indications géographiques

L’Union européenne et la Chine ont signé le 14 septembre 2020 un accord bilatéral visant à protéger 100 indications géographiques (IG) européennes en Chine et 100 IG chinoises dans l’Union contre les usurpations et les imitations.

Cette signature fait suite à l’impulsion donnée à cette négociation par la visite du Président de la République en Chine en novembre 2019, dans le cadre de la Foire internationale de Shanghai, à l’occasion de laquelle la conclusion politique des négociations avait été annoncé

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Agroalimentaire : la BPI lance un programme de soutien à l’investissement

La BPI France (Banque publique d’investissement) lance un appel à projets à destination des acteurs industriels de secteurs dits « critiques » – dont l’agroalimentaire – frappés par la crise sanitaire liée au COVID-19. Les entreprises intéressées peuvent candidater jusqu’au 17 novembre 2020. Ce programme s’inscrit dans le cadre du plan de relance du Gouvernement.

Quels projets sont concernés ?
Pour le secteur agroalimentaire, cet appel vise entre autres les projets qui ciblent la diversification des approvisionnements, la création, le maintien ou le redéploiement des capacités de production, permettant d’assurer la souveraineté alimentaire et l’autonomie de la France et de l’Union européenne.

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Usine du Futur : Que sera l’usine agroalimentaire de demain ?

Parce que le monde change, l’industrie agroalimentaire va devoir évoluer avec lui. Confrontée aux exigences des clients, aux nouveaux besoins des consommateurs, aux marchés de plus en plus volatils et imprévisibles, aux réglementations et normes de plus en plus strictes, aux défis à venir qu’ils soient sociétaux et environnementaux ainsi qu’à une concurrence accrue, l’industrie agroalimentaire doit sans cesse s’adapter de manière réactive tout en développant sa croissance via une chaîne de production sans faille. Pour rester engagé dans la compétition, il lui faut jongler entre productivité, compétitivité, profitabilité, capacités d’investissement et innovation. […]

Le Grand Est, un des leaders européens de l’«Industrie du futur»

Chef de file du développement économique, la Région Grand Est consacre cette année un budget de 84 millions d’euros à l’économie et à ses acteurs sur le territoire. Sa stratégie vise essentiellement l’accompagnement des entreprises dans leur projet de développement, d’investissement, d’innovation et d’internationalisation, afin de les aider à affronter les grandes transformations de notre société : digitalisation, transition écologique et énergétique, innovation technologique et sociale, économie collaborative, développement de nouveaux modèles économiques plus inclusifs, etc.

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