En raison de leur rareté, des aléas climatiques et des fortes tensions sur les marchés, les épices font partie des denrées alimentaires les plus falsifiées. De fait, elles sont étroitement surveillées par la répression des fraudes. La dernière campagne de contrôle de la DGCCRF confirme ces observations. Les résultats mettent en exergue un taux d’anomalies de 51 % dont la moitié est lié à un défaut de qualité dans les 181 établissements visités (importateurs, négociants, grossistes).

Source : Process Alimentaire